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Histoire de l'escrime

HISTOIRE DES ARMES

Par l'adjudant X (sources, FFE, ed 1999, maître Daniel Revenu)

 

 

 

Avant même d'apprendre à écrire, dans les origines de l'humanité, l'homme s'est rendu compte de son infériorité physique. Des grosses bêtes, elles aussi analphabètes, lui adressait systématiquement des raclées. L'homme a donc décidé deux choses : premièrement, la nécessité d'une bonne médecine pour ceux qui ne couraient pas assez vite, deuxièmement, la nécessité de se défendre aux moyens d'armes.

 

La technique des armes lors de l'époque de la course face aux grosses bêtes étant assez limitée. Des bâtons et des gourdins ! Les règles de combats étaient assez simples : "tu tapes le premier sur la tête de la grosse bête, tu gagnes", opposé à la règle du "tu tapes le second, c'est con, t'as déjà plus de bras... Et il est où ton bras, déjà dans la tête de la grosse bête, mais si, là dans le truc où y-a des grosses dents !".

 

A cette même époque, l'invention de "la course de fuite" a amené la surconsommation de café et le dopage[1], ainsi que la découverte du comportement favori de certains hommes. L'invention des armes a modifié ce comportement. Il était venu difficile aux hommes de courir les bras chargés de bâtons et de gourdins. Cela a donné naissance à un autre comportement masculin favori : Le volte-face ! Et nous parlons déjà de Volte, terme tout droit emprunté à l'escrime, c'est intéressant. Les hommes se sont donc retournés et ont été amenés à se fracasser entre tribus, comme des gens civilisés, grâce à des armes utilisées de façon plus ou moins efficaces avec des tactiques plus ou moins élaborées.

 

Nous nous doutons bien que vous vous dites tous : "Non, pas moi ! Jamais j'aurai fracassé mon gentil voisin avec un gourdin !" Vraiment ? Il a été découvert que vingt siècles avant notre ère, les chinois avaient déjà des maîtres d'armes. En Indes, parmi les textes sacrés, nous avons également découvert les principes de l'exercice des armes. En Egypte, l'escrime était pratiquée au moins quatre siècles avant les Jeux Olympiques. Pour ceux qui doutent, je recommande le temple de Médinet-Habou, près de Louxor, construit par Ramsès II vers 1190 avant JC. On y découvre un bas-relief où une compétition d'escrime est évoquée : les armes sont mouchetées, les mains protégées, les hommes ont le visage protégé par un masque, la pose de garde semblable à celle du sabre. Dans le public, nous reconnaissons le jury et les organisateurs : Ils sont munis d'une plume. Devrait-on en déduire que c'est là l'origine de l'expression, "la plume est plus forte que l'épée", même notre Adjudant X ne peut l'affirmer.

 

Alors, toujours à nier le fait que l'homme aime écrabouiller son voisin ? J'entends vos remarques : "ces exemples sont bien loin de représenter le berceau de la civilisation européenne civilisée !" Soit, intéressons-nous à l'Europe civilisée. Notre Adjudant X a découvert que les Grecs, bien loin d'être des champions en système bancaire, étaient incollables en exercices du corps et en jeux guerriers. Ils ont dès l'antiquité créés des écoles où les professeurs, les "hoplomachies", enseignent le maniement des armes avec une épée. J'entends déjà les commentaires dubitatifs de certains "mais comment peut-on le savoir ? L'adjudant X raconte n'importe quoi !". Et Homère alors (-800 av JC - -740 av JC) ! Ce type est réputé pour un écrivain sérieux, rapportant toujours les faits avec exactitude, sans jamais rien inventer. Dans l'Iliade ou l'Odyssée, par exemple, le poète grec est toujours très rigoureux dans la description des personnages, des événements, de la géographie, sans parler des rapports humains. Il est tout à fait crédible de voir une épouse attendre, durant les vingt années d'absence, de son époux Ulysse et de leurs fils Télémaque, en faisant tapisserie et en repoussant chaque jours les assauts d'autres jolis éphèbes. Homère décrit donc également, une épée "longue et tranchante". Il parle ensuite de concours pour hommes et enfants : là, l'adjudant X cherche toujours des explications à ces rencontres multigénérationnelles avec des longs petits couteaux !

 

Il s'en passe des choses chez les grecs ! Et pendant ce temps, dans le reste du monde civilisé ? Tournons-nous alors vers les experts du combat civique équilibré (lion contre catholique en toge, gladiateur contre esclave armé de petits cure-dents) : Et oui, nous voici à Rome ! Le chemin que je viens de prendre pour y parvenir est peut-être un peu cavalier, mais à cette époque, tous les chemins mènent à Rome et chez les Romains.

 

Donc chez les Romains, ce sont les gladiateurs (et non les soldats, ça vous en bouche un coin, ça !) qui sont entrainés à la technique du glaive par les "amomum doctores", puis à celui du "vectis" (gourdin qui remplace le glaive). Cela explique le prestige des gladiateurs face à celui des simples soldats. Les premiers étaient donc adulés et les autres n'étaient que de la chair à "vectis". Ce dernier point étant sans doute également la cause de la réputation encore aujourd'hui déplorable de certains romains, amateurs de coup de gourdins ! L'adjudant X insiste sur la nécessité de rectifier enfin l'honneur ces puissants guerriers romains, aux corps huilés et aux muscles bandés, saillants, prêts à la lutte.... Pardon, nous nous égarons. Revenons à nos Romains : C'est à la suite, de revendications syndicales, donc beaucoup moins sexy que certaines mauvaises langues...., vers 650 après JC, un consul arma son armée. C'est peut-être bizarre, mais c'est tout de même plus efficace. Ce consul, fait donc donner des leçons d'escrime à ses soldats par ceux qui préparent les gladiateurs. Les soldats les plus habiles reçoivent alors des rations supplémentaires. Certains esprits pourront trouver ça mieux. D'autres diront que c'est aussi à cette époque que va décliner l'empire Romain.

 

Nous avons peu de renseignements, jusqu'au moyen-âge, de l'évolution des armes. Notons toutefois que l'arme à feu va provoquer le déclin des armes blanches en qualité d'outils de guerre. Pourquoi ce déclin ? Il faut rappeler que pendant longtemps, l'escrime avait privilégié l'usage de la force. Au XIVème siècle, l'épée à deux mains apparaît. Elle est lourde et longue. Sa destination est de briser les membres à travers cuirasses et armures. Ensuite, une partie de l'armée, les petites mains de l'époque, est présente pour aller achever les cuirassés, blessés à terre, en leur tranchant la gorge ou artères fémorales, au moyen de tout petit couteau. Ils les glissaient dans les interstices de la cuirasse : Vous trouvez ça nul, et pourtant, l'expression le défaut de la cuirasse date de là ! L'Adjudant X en profite pour préciser ici qu'on peut effectivement être des massacreurs gros nuls en médecine au moyen-âge mais savoir cependant se massacrer comme des gens civilisés ! Et c'est pas William Harvey[2] qui dira le contraire : comme lui, comme pour l'Adjudant, faut que ça circule !

 

Après avoir inventé cette expression "défaut de la cuirasse", les armées s'interrogèrent : Est-ce bien de partir en campagne en sachant qu'on part avec un défaut ? Les publicitaires moyenâgeux, en opposition avec la confrérie des pompes funèbres, dans un souci de paix, décidèrent de modifier les règles belliqueuses : Il était possible de se battre, mais sans armure (beaucoup plus amusant pour le spectacle final et le fameux "mourra-mourra pas !". On décide donc d'abandonner l'armure et les grosses épées (encore une victoire des couturiers contre les ferronniers !). Avec la disparition de l'armure, va apparaître une escrime moins rudimentaire où la ruse et l'adresse vont prendre une importance croissante. C'est alors qu'apparaissent les "bottes", dont les secrets sont jalousement gardés (encore une victoire des bottiers contre les ferronniers).

 

En 1292, sous Philippe le Bel, est fait mention pour la première fois, des maîtres d'armes de Paris, à propos d'une taxe payée par les "escremisseurs". Je veux bien qu'à cette époque, il y ait des taxes sur n'importe quoi mais ça, c'est tout de même une preuve de l'existence de l'escrime. Vous trouvez que ça ressemble à une fable ? A oui ! Vous voulez des fables : En 1443, l'allemand Talhoffer, écrit un traité d'escrime à deux mains, mais aussi à la hache, la pique, au bouclier et dague, au couteau : Et dire que certains esprits, aujourd'hui trouvent les œuvres des frères Grimm trop violentes. Comparez les deux textes et vous verrez qu'il y en a un, uniquement fait pour les petits enfants. L'autre est faite pour les bouchers, médecins et autres vieux pervers !

 

Revenons à des côtés plus ensoleillés de notre histoire et donc à l'Espagne : Vers le milieu du XVIème siècle, l'escrime moderne y nait. Les maîtres Italiens, plus forts que les autres, vont alors piquer le bébé et décrire puis codifier les exercices. Les Italiens élaborent des cours didactiques, lisibles dans toute l'Europe. Catherine de Médicis y jouera un grand rôle : Belle-fille de roi (François Ier), femme de Roi (Henry II), mère de trois rois (François II, Charles IX puis Henri III), elle apportera aussi par son mariage beaucoup de choses à la France, en plus de la fourchette. Il n'est pas prouvé que Catherine était une grande escrimeuse, même si beaucoup de ses contemporains la trouvaient très piquante. En revanche, dès son arrivée à la cour, apparaît également "La Rapière". La garde de cette arme présentait de nombreux "trous" afin de pouvoir casser la lame adverse (si c'est pas féminin ça que de casser plusieurs trucs d’un coup !). Les combats n'étaient alors plus des luttes aux tranchants mais des batailles de piquants. Les armures sont alors remplacées par le bouclier puis la dague et le manteau (traité de Manciolino, 1531). En 1567, l'Ecole Française d'Escrime est née. Et oui, c'est Charles IX, que certains nomment aussi le "Roi pacificateur par le sang", autorise les "maitres joueurs et escrimeurs d'épée à se réunir en communauté". Petit commentaire : Si Catherine avait envoyé son fils dès 1567 chez le psy en lui demandant de travailler sur le côté sanguinaire du chérubin, les journées qui suivirent la nuit du 24 août 1572[3] auraient pu être plus tranquilles chez les blanchisseurs !

 

Donc, le premier traité d'escrime publié en France fut l'œuvre d'Henri de Saint-Didier en 1573. Ces traités étaient alors des formes de copies des traités d'escrime Italienne. C'est à partir du XVIIème siècle que l'école française commença à s'affirmer comme une escrime individuelle. Cet essor est possible grâce à l'apparition du fleuret : arme relativement inoffensive, à lame souple, terminée par un bouton en forme de fleur, qui permet de simuler un duel sans risque de blessure. Enfin, tout ça, c'est la théorie : Il m'est personnellement arrivé de combattre un peu avec le Fleuret. Ça fait quand même mal !

 

On peut s'interroger à l'utilité d'une telle arme : Il semble que l'Adjudant X est beaucoup creusé la question. C'est, cette fois, à la requête des nombreuses familles de la noblesse française. Depuis la bataille d'Hastings, toutes les familles nobles françaises comptaient, à chaque génération, un grand nombre de décès. S'en était venu à un tel point que les femmes nobles françaises se seraient rebellées. Elles auraient déclaré "nos mecs vont à la guerre pendant des années, soit ! mais quand ils reviennent tout estropiés qui s'est-y qui doit les torcher, c'est toujours nous : Y'en a marre !". Il s'en est suivi un mouvement de rébellion de ces femelles. Elles refusaient dorénavant de tomber la culotte tant que ces écrémages sanglants belliqueux dureraient. Le refus de la déculotté entrainait une baisse de la natalité chez la noblesse et donc un risque de déculotté sur les champs de batailles. Une déculotté pour une déculotté, le Roi de France, spécialiste de la question devait agir : Il nomma alors cette affaire de "Culottée" (et le roi, tant qu'il a des problèmes avec des culottes, il aime pas !). Après une longue conversation dont nous ne dévoilerons pas les dessous, il fut décidé que les nobles allaient donc pouvoir se fracasser avec uniquement des armes à fleurs ! Le fleuret fit donc son apparition. Les filles nobles reperdirent leurs culottes à nouveau et les rangs des familles nobles étaient reculottées et renforcées pour la révolution des sans culottes de 1789. Et oui, juste avant la révolution de 1789, on ajouta à l'équipement le masque en treillis métallique : Ils ne virent rien de ce qu'ils allaient se prendre dans la tête les nobles. Ils restaient sur leurs principes : "Il est toujours mieux de voir des mecs nobles tout beau de visage avant de les décapiter". Bref, en attendant de perdre la tête, elles étaient bien pleines avec de très nombreux ouvrages : "l'Académie de l'espée", G. Thibaust, 1628, "Théorie de l'art et pratique de l'espée seule ou du fleuret", Besnard, 1653, "les vrais principes de l'espèce seule ", Philibert De La Touche, 1670, "Exercice des armes ou le maniement du fleuret ", Le Perche du Coudray, 1676, "le Maistre d'armes ou de l'espée seule", Labat, 1696....

 

Les derniers traités du XVIIIème siècle et les premiers du XIXème siècle sont plus scientifiques : De grands progrès dans le découpage, nous l'avons déjà évoqué. Nous voyons donc apparaître des grands maîtres dans l'art du touché, des tireurs.... dont beaucoup des anciens de Napoléon. L'Adjudant X me demande de préciser sur ces points que nous parlons toujours de la pratique des armes blanches et de rien d'autre.

 

D'ailleurs à cette époque, tout le monde en avant mare des guerres et du sang et ne s'intéressaient qu'à la paix et la pratique des trucs blancs, à la science et à la médecine. Faut-il y voir une quelconque corrélation, les maîtres d'armes et les tireurs d'excellents niveaux sont alors très nombreux ? En 1896, à Athènes, l'escrime est représentée aux nouveaux Jeux Olympiques. Le Baron Pierre de Coubertin était très attaché aux valeurs de l'escrime ainsi qu'à la noblesse, l'honneur, le respect et les traditions... bref à l'idéal olympique. Dès le début des Jeux olympiques, l'escrime était une des rares disciplines dans laquelle des escrimeurs professionnels, des maîtres, pouvaient participer. Cela ne veut pas dire que pour les autres épreuves, il y avait des nains. Cela désigne uniquement le fait que pour la seule escrime, des professionnels étaient présents. Les premières compétitions olympiques de sabre et d’épée en 1896 et 1900 furent aussi disputées par des maîtres. Il fallut attendre 1924 pour voir débuter les premières épreuves féminines. Aux Jeux olympiques, il existe des épreuves individuelles et par équipes (entre trois escrimeurs par équipe qui s’affrontent en duel) déclinés en trois armes : le fleuret, l'épée et le sabre.

 

Le fleuret est donc composé de cinq partie en plus de l'être à la main avide de sang qui le manipule : La lame (quadrangulaire en acier), la coquille (ronde afin de protéger la main), le coussin (ronde, afin de protéger la main, entre la coquille et la main), la poignée (comme tous les trucs de l'escrime, elle n'est pas rectiligne mais un peu tordue, officiellement afin d'épouser la forme de la main : mariage entre un truc droit et un truc tordu ; et après, on s'étonne de l'augmentation du nombre des divorces), le pommeau (rien à voir avec l'apéritif de nos amis normands même si là aussi, il s'agit de maintenir différentes parties, qui portant ne sont pas faites pour ça, ensembles). Vous trouvez que cette description sent le sapin : nous n'en sommes pas loin puisque nous l'achevons en évoquant le petit bouton en plastique à la base de la lame et que nous nommons Mouche ! Le fleuret mesure au maximum 110 centimètres. 20 centimètres maximum du pommeau à la coquille, une lame maximum de 90 centimètres dont un faible (partie de la lame qui se courbe) de 15 centimètres.

 

L'épée est une arme très différente même si elle comporte exactement les mêmes éléments que le Fleuret. Comment différencier l'une de l'autre alors ? C'est simple, l'une s'appelle fleuret, l'autre épée ! Pour les moins observateurs d'entre nous, l'Adjudant X a cependant un peu plus creusé la question. Voici donc des éléments de différentiation. La lame est en acier (il nous prend pour des billes cet Adjudant), mais elle présente une section triangulaire, la coquille (merci Adjudant d'éviter les coquilles dans cette affaire déjà compliquée), la coquille donc est plus large ainsi que plus profonde. Elle peut même être excentrée, voir pour les épées de représentation, être ajourée. Le coussin est toujours là, entre la coquille et la main, ainsi que la poignée et le pommeau (toujours rien à voir avec l'apéritif de nos amis normands même si là encore nos amis épéistes aiment beaucoup ça !) Vous trouvez que cette description sent le sapin : nous n'en sommes pas loin puisque nous l'achevons en évoquant la présence du célèbre petit bouton en plastique à la base de la lame et que nous nommons Mouche ! L'épée mesure au maximum 110 centimètres. 20 centimètres au maximum du pommeau à la coquille, une lame maximum de 90 centimètres.

 

Le sabre est une arme très différente même si elle comporte exactement les mêmes éléments que le Fleuret et l'épée. Comment différencier l'une des autres ? C'est très simple, l'une s'appelle fleuret, ou l'épée, l'autre sabre ! Je devine que sur ce point les plus perspicaces y avaient pensé. Pour les moins observateurs d'entre nous, l'Adjudant X a cependant un peu plus creusé la question. Voici donc des éléments de différentiation. La lame est en acier (il nous prend toujours pour des billes cet Adjudant), mais elle présente une section triangulaire, puis quadrangulaire à la fin, l'extrémité étant repliée en arrondi (nous vous avions bien dit que l'escrime des grosses brutes avaient fait place à l'escrime des scientifiques), la coquille (merci d'éviter les coquilles dans les mois en R), la coquille donc est pas trop large mais surtout prolongée d'un capuce afin de sauver les doigts. "Oui, c'est difficile de tenir un sabre, arme préférée de toute la piraterie, quand on n'a plus de doigt" (dixit Capitaine Crochet, J. M. Barrie). Le petit coussin est toujours là, entre la coquille et la main, (mais n'éloigne ni les moustiques ni les crocodiles, toujours d'après Lord Barrie, mais cela fonctionnerait, d'après l'Adjudant X, pour les guêpes. Ouais, Laura Flessel n'aurait jamais touché au sabre !). La poignée et le pommeau (toujours rien à voir avec l'apéritif...) achèvent la description de notre sabre. Le sabre mesure au maximum 105 centimètres, 17 centimètres au maximum du pommeau à la coquille, une lame maximum de 88 centimètres.

 

Dès le milieu du 20ème siècle, la politique a remplacé les duels et combats à armes blanches, puis, dès le début du 21ème, internet. Il n'y est plus nécessaire de savoir se servir d'une arme pour toucher, et causer des cheveux blancs (dixit f. Provost) !

 

Voilà, maintenant vous savez tout sur les histoires des armes blanches !

 

 

Fin

Adjudant X.

 

 

 

 

 

[1] Dopage : Contrairement aux idées reçues, dans une région où tout le monde pouvait manger les mêmes choses, la notion de dopage était mal comprise par Cro-magnon… mais en gros, que peut-on attendre d’un gros croqueur de cros… En gros, c’était pas un truc de son âge !

[2] William Harvey (1578-1657) est un médecin anglais. Il est connu pour être le premier à avoir mis en évidence la découverte et la démonstration de la circulation sanguine dans son livre « Motu Cordis »

[3] Nuit du massacre de la Saint Barthélémy

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